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En débat

Séminaire des 7 et 8 novembre 2007

Rapport du syndical au politique

dimanche 13 janvier 2008

Jeudi matin

Rapport du syndical au politique

La situation du moment exige que l’on se pose au fond, la question du rapport du syndical au politique. (Achères)

3 contributions :

contribution n°1

Contribution écrite au mois de Juillet, née d’un constat partagé par tous : victoire non seulement d’un homme mais aussi celle d’un projet dont rien n’avait été caché aux électeurs. Ce projet percute tout ce que nous croyons. Il est à l’inverse des valeurs que nous défendons ; compétition, responsabilité individuelle, service public réduit au minimum, idées réactionnaires, libérales autoritaires.

Ne pas penser que c’est Ségo qui a perdu : Ce sont bien les idées de Sarko qui ont gagné.

Le syndicat doit-il se contenter de faire ce qu’il sait faire : mener des luttes sociale ? Ou devons nous aller plus loin, participer à l’élaboration d’alternatives afin de susciter l’espoir, construction d’un autre projet démocratique social ? Nous le faisons déjà au niveau local.

C’est plus facile avec les associations ou les autres syndicats.

C’est plus difficile avec les organisations politiques (ne pas chercher à travailler avec l’extrême droite).

Doit-on trouver des points de rencontre avec des organisations dont l’objectif est la conquête du pouvoir ? Si on répond oui, on sera attaqués

Le syndicat garde la confiance des salariés s’ils sont persuadés d’être défendus quelque soit la couleur du pouvoir. Beaucoup de débats après 1981.

Ne pas prêter le flan aux critiques par notre silence ou notre opacité. Si nous décidons de répondre oui à la question il faudra le dire clairement.

C’est avec le PS que ce sera le plus difficile. C’est le parti qui sera en 2012 ou 2017 le plus à même de reprendre le pouvoir. Nous ne pouvons le laisser être le copier/coller de l’UNSA et du SGEN.

contribution n°2

Hypocrisie : Le syndicalisme est indépendant. Il y a eu et il y a des interconnexions entre les syndicats et les partis.

Un parti doit développer une vision globale et une vision de ce que doivent être les forces sociales. Les partis de Gauche et de Droite pensent le syndicalisme.

Notre pratique actuelle consiste à intervenir là où on est attendus. Nos interventions n’ont aucun effet car elles sont prévisibles (sauf en cas de forte mobilisation des collègues).

Dans les années 70 : union de la gauche. Stratégie de participation à la conquête du pouvoir à côté des partis de gauche. Est-ce une erreur historique ?

On n’arrête pas de dire qu’il y a un vide politique à gauche. Ce n’est pas le fait des hommes et des femmes mais des analyses de la société.

Façon d’engager l’action : il y a dix ans, on n’engageait une action que si on était persuadés d’être suivie par une majorité de nos collègues. Aujourd’hui, on s’engage si on pense emmener une partie significative de nos collègues

Trois complexes à dépasser, car on ne peut avancer que dans une confrontation avec tous les autres : Subordination aux orgas politiques

Pertinence de nos analyses

Image envoyée à nos collègues.

contribution n°3

Objectif : Cerner le problème.

2 préalables à la réflexion : s’interroger sur la perception qu’ont les personnels des rapports du syndicat au politique.

Lever les non-dits sur les rapports passés avec les partis et particulièrement entre le SNES et le PCF.

Enquête d’opinion menée par le SNES en 2006 : Une majorité de collègue nous suspectait de rouler pour autre chose que ce pourquoi ils nous faisaient confiance, d’aller au-delà de la défense de leurs intérêts. 70% des personnes « proches » de la FSU ont voté Ségo au premier tour. Interprétation difficile. Ce vote n’exprime pas une volonté de transformation sociale radicale. Au référendum TCE : une majorité de collègues ont voté OUI.

Sur les non-dits. Pour que les nouveaux syndiqués, se sentent proches d’U&A. Revenir sur les années où le lien « organique » avec le PCF a été coupé. Il ne faudrait pas qu’en s’engageant plus ou moins fortement dans la construction d’alternatives, on se retrouve dans une situation que nous avons été amenés à refuser.

Délimiter le champ de nos travaux.

- Le rapport avec le pouvoir politique est assez courant dans nos pratiques au niveau local

- Le rapport avec les orgas politiques

- Le rapport au champ politique et citoyen du terme.

Les deux derniers points sont délicats.

Peut-on et doit-on participer à l’émergence d’une alternative politique ? Notre intervention dans le champ politique sur les sujets qui nous sont propres est légitime. On a aussi légitimité a intervenir car la déconfiture de la gauche fait que la seule résistance à Sarkozy est sociale et dans la rue.

Notre participation à des assoc dans le champ sociétal (RESF, ATTAC ...) nous rend aussi légitimes.

Reste la question de la participation à l’émergence d’une alternative politique à gauche. Le SNES et la FSU doivent-ils contribuer explicitement à l’émergence d’un projet politique alternatif, s’inscrire dans une coalition rénovatrice ?

Intervenant 1

Eclaircir les choses d’un point de vue historique. La construction des revendications ne s’est jamais faite par automaticité de ce qui ce décidait au PCF Naissance du syndicalisme en France. Anarcho-Syndicalisme / Syndicalisme révolutionnaire Le parti social démocrate français (SFIO) n’a jamais eu d’assise syndicale. Dans les dernière années : (Pierre Toussenel) On est passé d’une situation où existaient des liens plus ou moins étroits (PCS, PS) à une situation de totale ignorance : Plus de relais politique. Intervention dans le champ du politique : question déjà tranchée par les congrès (SNES et FSU) : on investit le champ politique quand on travaille sur les alternatives, sur les retraites...

La question reste du périmètre de nos interventions. Exemple : fonctionnement démocratique. Décentralisation, démocratie participative. On fait des propositions ou on doit en faire.

Ne pas se situer dans le cadre du remplacement des partis. Ne pas les délégitimer.

Syndicalismes et Partis.

A tous les niveaux le SNES et/ou la FSU doivent rencontrer les partis de gauche, le PC, le PS (et pas ses composantes). Renouer des liens en leur disant ce qu’on pense.

Dans l’état actuel des choses, il doit y avoir une recomposition sur un autre mode que celui de la division qui a toujours existé sous différentes formes. Ce qui est essentiel, c’est le devenir de la démocratie, politique, sociale, mise en difficulté par les révolutions libérales. Articulation de la démocratie représentative (éloignée des citoyens - cumul des mandats). Le syndicat doit intervenir dans la définition de l’intérêt général. C’est ce que l’on doit porter avec les personnels.

Intervenant 2

Nous sommes d’accord sur un certain nombre de choses : que le Syndicat s’adresse aux partis, au pouvoir ou non pour porter nos aspirations, de façon urgente. Mais la question est COMMENT ?

De 1971 à 1989, le PS était sous la dépendance de la FEN (projet d’école) et non l’inverse.

Le problème est celui de la méthode qui consiste à trouver un parti

Il y a différentes légitimités qui ne doivent pas être confondues (comme le fait SARKO) Ce qu’il ne faut pas faire : le PS qui demande à qqn de la direction du SNES, membre du PS, de participer à la commission éducation.

Participer : partager la plume = NON. Ne pas créer d’association, de collaboration.

Règles simples : moins de distance avec les partis : créer un dialogue entre structures qui ont chacune leur légitimité, dans la transparence, en suivant le fil rouge défini par nos mandats.

Intervenant 3

Déplaçons les tabous.

Méfiance des collègues : instrumentalisation du syndicat par le politique.

Faut-il aller plus loin, trop loin ? Il faut aussi demander comment.

Les idées de droite ont gagné ? Il y a une défaite idéologique de la gauche qui n’est pas nécessaire la victoire des idées de droite. Une idée construite a séduit. On confond les causes et les symptômes.

Quelle légitimité ?

S’en sortir par du concret. Investir le débat d’idées à partir des mouvements qu’on mène. Ne pas laisser tomber les idées qu’on porte dès que l’actualité est passée.

Décentralisation : on a posé les bonnes questions en 2003 puis on les a abandonnées. Fonction Publique / Service publics /Enseignement pour tous / investissement éducatif

Intervenant 4

nous devons être décomplexés par rapport au politique mais nous ne devons pas pour autant tomber dans le complexe de supériorité.

Situation particulière du syndicalisme enseignant (non confédéré), isolé sur certaines questions (apprentissage, décentralisation)

Ne pas être naïfs sur le regard porté sur le syndicalisme par les politiques (ils nous voient comme des organisations à instrumentaliser)

On ne rencontre pas assez les partis.

Jusqu’où on contribue à une alternative qui se traduise par une force capable de prendre le pouvoir ?

Nécessité d’une coalition à inventer à gauche. L’expérience de « Die Linke » en Allemagne est utilisée comme modèle pour la gauche française par certains . Je n’y crois pas : PS et PC très déchirés, LCR dans une stratégie très perso qui ne se projette pas dans une prise de responsabilité, Perception de la réflexion syndicale dans la gauche de la gauche depuis les présidentielles : ceux qui interviennent le plus sont des ÉÉ qui critiquent les directions syndicales. Necessité d’être présents pour donner à entendre un autre discours. Discours sur le modèle français (droite et gauche) : il faut avancer sur le syndicalisme international et européen.

Intervenant 5

A l’occasion de l’affaire Guy Môquet : Il y a eu des relations avec le PC, difficiles Sur les retraites : ne pas avoir l’air de faire des propositions du genre « demain on rase gratis », s’appuyer sur des analyses, des chiffrages, des conséquences économiques

Intervenant 6

Clarifier le débat : Quel est le champ de légitimité du syndical, de quel syndicalisme nous réclamons nous ? Syndicalisme de transformation sociale ?

Schéma : Rapport du syndicat au politique, politique = partisan. En sortir ou pas ?

Il n’y a pas de frontières à nos interrogations.

Indépendance / dépendance : on n’en parle plus. Notre relation à l’Etat. Au travers de rencontre avec des partis aujourd’hui, anticiper sur ce que serons les relations lorsqu’ils seront au pouvoir.

Représentativité : on attend tout de l’Etat. La CGT : oscille on négocie avec le MEDEF et on demande à l’Etat. S’interroger sur la place de nos relations avec le ministère.

Intervenant 7

Faire un bilan des relations avec les partis sur 20 ans.

Indépendance y compris financière.

Quels sont les point partagés avec les partis ? Si les divergences sont trop fortes, mener un débat public peut être difficile voire dangereux.

Porter nos idées dans la profession et dans l’opinion pour être en mesure de peser sur les partis.

Intervenant 8

La question est celle de notre isolement et donc de la recherche d’alliances.

Tabous : nos relations avec le PS. Doivent s’inscrire dans une transparence, un mandatement des comptes à rendre. Est-ce la seule et la meilleure voie ? Suffit - il d’aller voir le PS ? la période d’ignorance a-t-elle seulement entraîné une méconnaissance. Il faut peser. Ce qui implique que nous tenions et la FSU, toute notre place dans le dialogue politique et syndical.

L’hégémonie du PS à gauche fait-elle que nos relations avec le PS sont la seule voie pour porter nos propositions ?

Nous allons être sollicités par rapport à la reconstruction de la gauche par des initiatives toutes légitimes mais concurrentes. La solution passe par les initiatives des syndicats. La recherche d’unité syndicale pourrait permettre de mettre en place des lieux de travail syndicaux sur le champ politique.

Intervenant 9

Indépendance certes mais les luttes sans relais politiques sont épuisantes et sont vouées à l’échec. Les politiques ont aussi besoin des syndicats. La disparition du syndicalisme entraîne la disparition du politique au profit d’un discours communautaire.

Le syndical et le politique ont des difficultés communes. Nos collègues ont une vision des orgas comme des églises et ne s’investissent pas parce qu’ils ne sont pas d’accord avec tout.

Le politique est rejeté au profit de l’associatif (restos du coeur, téléthon ...)

Intervenant 10

La question du COMMENT ? Et POURQUOI ?

On ne peut pas avoir les mêmes rapports avec l’UMP et les partis de gauche.

Pour reconstruire, on ne peut le faire en créant un parti comme le parti travailliste.

On ne peut diviser les collègues sur des choix qui ne sont pas des choix syndicaux au risque d’affaiblir le syndicat.

Question des convergences. En 1972, le programme commun est apparu comme une possibilité de faire aboutir nos revendications.

Jeudi après-midi

Intervenant 4 : synthèse de la matinée

Ce qui fait accord : intervention dans le champ politique, sans questions interdites. Intervention auprès des élus. Rencontre avec les partis dans la transparence. Ce travail n’est pas suffisamment fait au niveau national. Nécessité de créer des cadres entre orgas syndicales et avec les organisations politiques

En débat : Aller plus loin. Sans être instrumentalisés par des partis ou par des forces au sein du syndicat. Construction d’une alternative politique. Faire le point sur les débats au sein du PS ou du PC et des autres organisations syndicales Pousser l’analyse des lieux où l’on se rencontre (ATTAC, RESF, collectifs Sécu ...) Suites : appels sur le traité modificatif, reconstruction à gauche : quelle boussole ?

Intervenant 1

Connaître l’état du débat est intéressant. Mais on avancera mieux en se confrontant à la mise en œuvre. Ecole, FP, salaires : sur tous ces éléments on se dit que notre démarche syndicale a une dimension politique et par conséquent on engage la bataille d’idées. Se saisir de la force d’intellectuel collectif du SNES. Il faut réaliser des documents. Cite l’exposé de François à Achères : la pensée dominante influence les exécutifs des régions. Utiliser l’us mag, les sites internet.

Intervenant 3

Que met-on derrière « approfondir et mener le débat d’idées ». Comment faire en sorte que ces débats émergents dans la profession, dans les départements, dans la FSU ...

Intervenant 11

Notre investissement dans de multiples réseaux constitue une démarche politique juste mais pas suffisamment pensée et elle peut être perçue comme délégitimant l’action syndicale. Il y a une aspiration au débat citoyen. Développer des stages sur les questions de sociétés On sous-estime l’importance de la réforme du fonctionnement de l’état.

Intervenant 12

La question du traité. Le champ syndical va-t-il jusque là ? Quelle est notre légitimité ? Quelle est celle du gouvernement ? Il s’agit d’une confiscation de la démocratie.

Intervenant 13

On ne peut rester sur l’image « nos responsables pensent mal, nous pensons bien ». Se dire aussi que de l’extérieur on peut apprendre. Nous n’avons pas de problème d’élaboration mais celui de faire de notre démarche d’élaboration un moyen de créer un rapport de force dans la société. Favoriser la confrontation

Intervenant 14

Il y a des avancées dans nos débats. Il faut aller vers le « comment » en évitant les écueils dont celui qui consisterait à parler de tout. Se concentrer sur nos champs d’expertise (école, services publics, fonction publique) et avancer sur le reste avec modestie.

Intervenant 4

On a besoin d’apports extérieurs pour alimenter nos réflexions. Montrer ce que nous faisons au SNES à U&A FSU pour susciter des initiatives à différents niveaux. Il y a un vrai désir de débats

Intervenant 15

Notre capacité à diffuser notre pensée et à peser sur les choix politiques. Exemple : on a réussi à dissuader la gauche de mettre en place l’école fondamentale. Grace au rapport de force mais aussi parce qu’on a réussi à convaincre la gauche que c’était néfaste (la preuve la droite a fini par le faire : socle commun)

Intervenant 7

Nos relations avec les partis ne peut se limiter à un dialogue si on veut faire avancer nos idées. Il faut privilégier les relations avec un partis

Intervenant 16

Réponse à Jacques : Il ne faut pas oublier les évolutions sociales de la population et de ses aspirations qui ont rencontré notre projet. La frustration des jeunes diplômés permet peut-être que les idées de l’école fondamentale reviennent. Désaccord avec Mathieu lorsqu’il avance qu’il y aurait des sujets sur lesquels on est légitimes et d’autres pas. Mise à dispo pour U&A FSU : par la revue, dans les séminaires ...

Intervenant 8

Certes notre légitimité est limitée mais il est dangereux de chercher à la borner aux sujets (école, sp, fp) au risque de marginaliser ces sujets

Intervenant 17

Comment nous rendons visible dans le débat public les questions qui nous occupent ? Nous ne partons pas de rien. Donner une cohérence à l’ensemble de nos productions pour mieux expliciter les choses auprès de nos collègues et en direction de l’opinion et des politiques (sans exclusive fondés sur ce que nous croyons connaître des divergences que nous pouvons avoir avec telle ou telle orga)

Intervenant 3

U&A FSU : Ne pas apparaître comme « le SNES a pensé pour vous ». Profiter du mouvement qui s’ammorce dans la FP pour initier un séminaire U&A FSU

Intervenant 18

La mise en place du CFR met en évidence le manque de structure de dialogue avec les responsables politiques et les confédés. Pb de la structure du PS (départementale)

Intervenant 2

Pas de problème dans les rapports avec les élus. Faire comprendre aux partis que nos aspirations doivent être prises en compte dans la construction de son projet. Faire comprendre au PS qu’il a intérêt à prendre en compte la parole de la profession et non une parole qui l’arrange.

Intervenant 4

Sur la bataille des idées : S’agit-il de définir des outils pour les faire passer ? Par rapport à la FSU : ne pas avoir l’air de donner des leçons. Un prochain séminaire U&A FSU est déjà fixé le 3 décembre Pour la suite : compte-rendu de ce séminaire, susciter des contributions Prochain séminaire janvier ou février 1 ou 2 jours.

Intervenant 10

Il faut commencer à pouvoir discuter dans la FSU. Ce n’est pas qu’un débat d’idées.

Intervenant 1

il ne s’agit pas d’écrire un projet clé en main. Nous sommes un syndicat de transformation sociale. On a déjà des mandats. On doit étendre notre réflexion et mettre en cohérence nos analyses sur différents sujets. Il faut faire fonctionner internet pour susciter la production de réponses chiffrées et argumenter aux poncifs qui attaquent

Intervenant 2

Que le SNES prenne l’initiative de rencontrer le PS le PC les Vert la LCR (en bilatéral) pour leur proposer des rencontres thématiques régulières. Le dialogue avec un parti, c’est celui du dialogue avec une structure qui crée de la pensée politique. Notre point de vue n’est pas de contester la pertinence des organisations à construire des projets. Il faut faire prendre en compte nos orientations dans ses projets. L’intérêt du PS sur l’éducation, c’est de prendre en compte notre point de vue. Il faut lui faire comprendre.

Intervenant 4

Le travail est déjà fait dans certains secteurs Pour le reste : créer un secteur : initiatives alternatives économiques et sociales et environnementale. Josiane propose d’utiliser le travail que l’on fait sur les dossiers. S’agit il à partir de cela de construire un projet ? ou d’interventions au fil du temps. Dans ce cas, on est moins loin de notre pratique. Séminaire national UA FSU le lundi 3 décembre. Il va y avoir un compte rendu. On va susciter des contributions. Décider qu’au prochain séminaire, on consacre un temps à cette question. Prochain séminaire sur l’avenir de la FSU.

Intervenant 10

On se trouve confrontés à l’isolement. Va-t-on suffisamment dans les discussions avec nos collègues ? On a beaucoup à travailler sur le développement des luttes sauf à risquer de rester dans un carré confiné. Dans la FSU, on a le sentiment d’organisations qui veulent un travail unitaire mais les convergences ne sont pas spontanées.

Intervenant 8

Mutualiser les productions des différents secteurs.

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